En 2016, Rafael Anton Irisarri, en tournée en Italie, s’inspire d’une erreur de traduction pour évoquer le mensonge derrière le rêve américain. Son album « Façadisms » critique la manipulation politique, révélant les illusions des promesses démocratiques. À travers des paysages sonores, il dévoile la désolation et les contradictions d’une société en crise.
